MARIE FRANCE
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 DICK RIVERS 2011 : en finir avec la vision (faussée) “Je dors dans un jukebox en santiags”

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GUIBERT FRANCOIS
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GUIBERT FRANCOIS


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MessageSujet: DICK RIVERS 2011 : en finir avec la vision (faussée) “Je dors dans un jukebox en santiags”   DICK RIVERS 2011 : en finir avec la vision (faussée) “Je dors dans un jukebox en santiags” EmptyMar 8 Nov - 15:58

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Mis en à l'instant sur la page officielle Facebook de Dick

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=2600617092274&set=o.249601091732313&type=1&theater


ce pitit texte :


Hello, ce message pour dire et espérer que DICK, au Casino de Paris le 21 novembre 2011 et à l'Olympia le 31 mars 2012, jouera le plus de titres possible de son nouveau Compact Disc (voire même tous les titres). Tout comme il l'avait fait à l'ALHAMBRA en décembre 2008 où il avait joué la quasi-totalité des chansons de l'excellent album "L'HOMME SANS ÂGE".

D'ailleurs, tout autant que "MISTER D" (2011) et "PLEIN SOLEIL" (1995), ce disque made by JOSEPH D'ANVERS avait la rock'n'roll attitude, même si et parce que justement il n'y avait pas le côté Lucky Luke Spirit (*) avec les jeux de mots plus ou moins réussis des textes souvent poussifs, un peu machos ambiance “Grosses Têtes” de RTL, de SERGE KOOLENN.

Le nouveau CD de DICK est un must, un Top artistique dans sa carrière, il faut clairement mettre cette dizaine de chansons en avant, dans les concerts, quitte à ce que ça fasse ronchonner ceux qui attendent avant tout "TWIST A ST TROPEZ", le très mauvais et ultra gnangan "C'EST PAS SÉRIEUX", ou encore le pas du tout représentatif du Rivers Spirit "NICE BAIE DES ANGES" (et d'autres titres un peu clichés comme “Y EN A MARRE DE CE WESTERN”).

La version cajun speedos 2003 de "FAIRE UN PONT" est électrisante, beaucoup plus que la version officielle originale 1974 trop country FM ennuyante.

Enfin, voilà, avec ce disque, DICK a toutes les cartes (les chansons) en main pour faire un concert super rock'n'roll new style 2011, en mettant en avant un max' de chansons de "MISTER D". Voilà, présent je serai le 21/11/11 (Casino) et le 31/03/2012 (Olympia).

F. G.

(*) : cette espèce de vision « je dors dans un jukebox avec mes santiags » faussée du DICK — justement, ces concerts à venir et ce nouvel album, c'est pour DICK l'occasion de démontrer, comme il le souhaite depuis des lustres, que le RIVERS, ce n'est pas ça, ce n'est pas un Michael Jackson version rocky du 18e (arrondissement) mais bien un rocker créatif, malin, vivant, avec des nouvelles chansons solides, mieux que pas mal d'anciennes 70s, 80s ou 90s.

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MessageSujet: Re: DICK RIVERS 2011 : en finir avec la vision (faussée) “Je dors dans un jukebox en santiags”   DICK RIVERS 2011 : en finir avec la vision (faussée) “Je dors dans un jukebox en santiags” EmptyDim 6 Juil - 23:17

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Nouvelle page spéciale 100 % inédite

« Chronique détaillée

de l'album “RIVERS” (2014)

de DICK RIVERS »

sur ce lien :

http://lachanteusemariefrance.fr.gd/Album--g-RIVERS-g---k1-2014-k2--de-DICK-RIVERS--d--chronique-detaillee-.-.htm


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DICK RIVERS sera en concert

le mercredi 28 janvier 2015

aux FOLIES BERGERE (Paris).


Un compte rendu de ce futur concert
sera en ligne sur ce site dans la première quinzaine de février 2015.


Places en vente entre autres sur ce lien :

http://www.foliesbergere.com/DICK-RIVERS-fid178.aspx

ou sur cet autre lien :

http://www.fnacspectacles.com/place-spectacle/manifestation/Pop-rock-Folk-DICK-RIVERS-DICK.htm


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DICK RIVERS

Chronique de l’album “RIVERS”

(Verycords, 2014) :

“Rivers” est un très grand disque de rock’n’roll, où se côtoient blues, cajun et country. Dick fait comme toujours des merveilles avec sa voix grave et basse. Il joue avec ses propres intonations : les « aôôwww » et autres « Cadilââkkke » par dizaines tout au long du CD, ce genre de prononciation est top.

Tranquillement, sans la ramener de façon caricaturale ni se la raconter, il place et chante les mots exactement là où il faut. Il interprète les textes de ses auteurs avec justesse, précision, et un feeling dément.

À la production et aux arrangements : Oli Le Baron. Il réussit là où Patrick Coutin avait échoué. Ce dernier a réalisé le magistral album “Plein soleil”, contenant d’ailleurs plusieurs titres dont il a composés les musiques.

Cet opus de 1995 est l’un des quatre meilleurs albums studio de Dick. Sauf que par la suite, avec “Vivre comme ça” (1) en 1998 et “Amoureux de vous” (2001), l’inspiration artistique de Coutin, en tant que superviseur artistique, s’était énormément amoindrie, voire asséchée. Comme si la routine s’était installée après “Plein soleil” et le double CD “AuthenDick” (live à Bobino 1995).

Ce n’est pas le cas entre Le Baron et Dick. “Rivers” est aussi excellent et incontournable que le définitif ouvrage “Mister D” (2011) et que son indispensable complément live CD/DVD “Gran’ Tour — Olympia 2012”. On peut même préférer “Rivers” à “Mister D”, par le fait que le son soit encore plus roots, live, simple, aéré, épuré, au plus près des instruments.

On retrouve l’atmosphère “de groupe” qu’il régnait dans les salles de concerts lors du “Mister D Tour” 2011/2013 de Dick et son gang. Avec une ambiance plus intimiste et en grande partie électroacoustique. Même s’il y a de grosses impulsions de guitares électriques du Baron (qui assure tous les sons de six-cordes, entre autres instruments). Par exemple sur “Jeanne & Henri” et le refrain du “Rôle du rock”.

Dans le CD “Rivers”, l’harmonica de Mickey Blow joue un rôle fondamental dans l’ambiance blues à l’ancienne et authentique de tous ces morceaux. Sauf exceptions, cet harmoniciste old street school ne fait pas de solos plein pot. Juste des petits coups nerveux, discrets et bien sentis.

Il s’immisce dans plein de recoins, tout au long de “Maudit”, “Les rois serviles”, “Le rôle du rock”, “Sans devise”, etc. Comme lorsqu’il est sur scène. À l’écoute de ce disque, on l’imagine au moment de l’enregistrement en train de faire ses fameux petits pas en avant puis en arrière (et vice-versa) lorsqu’il joue de l’harmonica.

“Si j’te r’prends” ouvre l’album de façon enjouée et hyper chaleureuse. Dick prend une intonation à la Zachary Richard (avec une voix beaucoup plus grave) ou Clifton Chenier. L’ambiance est 100 % dixieland rock New Orleans. Entre “King Creole” (Elvis Presley 1958) et “Je veux du bonheur” (le show live génial de Christophe Maé 2013/2014, ainsi que l’album éponyme).

Erik Sitbon, qui en a composé la musique, et son groupe Ghost Band assurent l’accompagnement. À leurs côtés : Mathias Luszpinski, épatant saxo ténor garage surf rock roll parisien, et Oli Le Baron. Ces deux derniers, donc, font partie du groupe scénique de Dick depuis 2011.

“Sans devise”, au rythme qui se dandine joyeusement, est dans le même état d'esprit. Sans l’aspect dixie big band, et dans une veine plus cowboy cânetwuy.

Sur “Rivers” autant que sur “Mister D”, les compositions sont artistiquement très fortes. Elles captivent l’auditeur par leur richesse et leur intensité. Oli Le Baron est l’auteur-compositeur de “Jeanne & Henri” (avec sa compagne Hélène pour le texte), “Sans devise”, “Maudit”, “Tu m’as changé”.

Le Oli signe le texte de “Pas de vainqueur” sur une musique folk rock pleine de panache composée par le duo Hudson Taylor. La version française de Dick est même meilleure, y compris musicalement, que le “Battles” originel (et sorti en avril 2014) de ces deux frères irlandais.

En revanche, l’interprétation live et féminine de “O Marie” par Isabelle Boulay (figurant sur son album country “Les grands espaces”, 2011) est plus émouvante que celle de Dick où l’accompagnement musical est plus rêche, plus brut. Ce titre est une création de Daniel Lanois.

“Mustang” est un titre bonus figurant uniquement dans l’éditon limitée digibook CD. Les détenteurs du CD boîtier cristal normal ne pourront pas écouter ce bijou au phrasé tendance rap convaincant et crédible.

Un mal pour un bien : en effet, ce n’est pas souvent que sur un CD (quel que soit l’artiste ou le groupe), un morceau bonus est aussi bon et fort que les chansons phares figurant sur l’album standard.

Francis Cabrel a composé (texte & musique) une fantastique chanson-tornade électrique et sauvage : “Le rôle du rock”.

Au passage, avec ce titre (à prononcer à voix haute), il devient l’heureux et officiel dépositaire d’une hilarante formule, inédite et pourtant pleine de bon sens. Même Laurent Chalumeau (2) et Boris Bergman — adeptes de bons (jeux de) mots, deux maestros de l’écriture franco-française à la plume vibrionnante et zébulonesque — n’y avaient pas encore pensé.

La manière pleine de furie dont Le Baron envoie ses guitares, sa façon de faire les choeurs sur le refrain en scandant « rôle du rock ! (…) rôle du rock ! » : tout cela contribue à la réussite de ce titre.

Le texte est malin, amusant, très bon esprit. Il décrit bien l’ambiance éternelle que des générations de musiciens ont vécu et continueront de connaître : « Une ville au hasard, n’importe laquelle / Des sonos, des hangars et des décibels / Un tonnerre de guitares comme une onde de choc (…) Des motels, des motards huit jours par semaine (…) Une seule règle, on ne regarde jamais en arrière (…) »

Cabrel devrait ou aurait vraiment dû composer plein de chansons de cet acabit et dans ce style musical précis, que ce soit pour lui ou pour les autres. Plutôt que les ballades soft qui ont fait son succès en tant que chanteur. Quelque part, il est passé totalement à côté d’une carrière de compositeur de rock.

Francis signe aussi le texte plus banal de “Paris-Vintimille”. C'est le morceau le plus touffu et fouillis du disque. La musique composée par Michel Françoise est linéaire. Les instruments s’entrechoquent les uns les autres. L’ensemble ne décolle jamais réellement, même sur le refrain. Et ce malgré les guitares appuyées (solo à la “Brand New Cadillac” inclus) du Baron.

Beauté et simplicité sont de mise dans l’interprétation de Dick et l’orchestration pour “L’amour m’attendait”. Il s’agit d’une reprise du troubadour Dylan Bob avec, là encore, un texte (français) de Cabrel.

“Les herbes hautes”, de Joseph d’Anvers, sont exactement dans l’ambiance sonore, tourmentée et fougueuse, de “L’homme sans âge”. Ce majestueux album de 2008, entre lyrisme et introspection, est mal-aimé par les dingomégafans des Chats Sauvages.

C'est injuste car il contient douze magnifiques titres, entre autres “Par-delà les plaines”, “La voie des anges”, “Gagner l’horizon” et “Mon homme” (un hommage à son père).

Retour à “Rivers” : Dick s’attaque de façon inattendue et surprenante à un titre (que l’on découvre d’ailleurs grâce à Dick) de Georges Moustaki : “Les rois serviles”. Rien que par son chant, Dick en livre une toute autre atmosphère, western et américaine, que celle de son créateur.

À cela, il faut ajouter les envoûtants arrangements, conçus autour de l’harmonica (essentiel sur ce titre) à la Ennio Morricone de Mickey Blow, du banjo joué par Manu Bertrand et des clapements de mains de tous les participants.

Grâce à Joseph d’Anvers (avec qui Dick collabore toujours) en 2008 puis Oli Le Baron depuis 2011, le rocker en noir du quartier Simplon (Paris 18e) a retrouvé l’inspiration et la flamboyance de “Plein soleil” et du live “AuthenDick”.

Ces deux CDs, ainsi que “L’homme sans âge”, “Mister D”, “Gran’ Tour — Olympia 2012” et “Rivers” constituent pour l’instant le summum de l’œuvre discographique (hors Chats Sauvages) de Dick.

François Guibert

(6 juillet 2014)


(1) : un album très variété, décevant, ne contenant pas de chansons mémorables. Hormis l’adaptation en français par Maurice Achard de “In The Ghetto”, ballade créée par Elvis Presley en 1969.

(2) : d’ailleurs, d’une certaine façon, l’album “Rivers” constitue une bande son idéale des livres “En Amérique” (2009, Grasset) ou “Uptown” (1997, Editions Florent Massot) de Laurent Chalumeau.

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Chronique de l'album "RIVERS"

par JEAN-WILLIAM THOURY


dans "ROCK ET FOLK" (juin 2014) :

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Ci-dessus, de gauche à droite :
Benoît Blue Boy,
Tai-Luc (La Souris Déglinguée),
Alain Chennevière,
Shere Khan (Ici Paris)
et Tony Marlow.


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Ci-dessus, de gauche à droite :
Patrick Renassia (Rock Paradise),
Jean-William Thoury (Bijou, "Juke-box magazine", "Rock&Folk"),
Dick Rivers, X,
Serge Sciboz ("B.C.R. (Blues Country Rock'n'roll) La Revue")
et Tony Marlow.


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Shere Khan (Ici Paris),
Alain Chennevière,
Dick Rivers,
Tony Marlow,
à Rock Paradise, Paris 15e, vendredi 20 juin 2014.


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