MARIE FRANCE
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 VIKTOR HUGANET ("Busca Boogie") 18/12/2013 La Boule Noire (Paris) : compte rendu

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VIKTOR HUGANET

en concert le mercredi 18 décembre 2013 à LA BOULE NOIRE (Paris).

Places de 9,80 € (tarif adhérents Fnac) à 14, 80 €.
http://www.fnacspectacles.com/place-spectacle/manifestation/Pop-rock-Folk-VIKTOR-HUGANET-BN18D.htm

Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans.


Nouveau vidéoclip "VIVRE SANS ELLE" (2013) :
https://www.youtube.com/watch?v=512eaf-wbL4


Reprise live de "LAISSE LES FILLES" (de Johnny Hallyday, en 2010) :
https://www.youtube.com/watch?v=1JfQPsiGQjs


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• Nouvelle page spéciale 100 % inédite

« Compte rendu détaillé du concert

de VIKTOR HUGANET (“BUSCA BOOGIE”)
le 18 décembre 2013 à LA BOULE NOIRE (Paris) »


sur ce lien (à copier-coller) :
http://lachanteusemariefrance.fr.gd/VIKTOR-HUGANET--k1--g-BUSCA-BOOGIE-g--k2--le-18-decembre-2013-a-LA-BOULE-NOIRE--k1-Paris-k2---d--compte-rendu-.-.htm


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VIKTOR HUGANET



(+ invité : MARSHALL CRENSHAW)



le mercredi 18 décembre 2013 


à LA BOULE NOIRE (Paris) :




Le Toulousain Viktor Huganet viendrait de l’Amérique 
ou de l’Angleterre, il aurait droit aux couvertures de tous 
les journaux rock de France. Ce gars-là est un phénomène. Déjà, son look est terrible. À ses débuts, 
à travers les visuels que l’on pouvait voir de lui (1), 
il était beaucoup inspiré par le Brian Setzer vitaminé 
du début des années 1980.





En 2013/2014, c’est beaucoup moins le cas. Avec intelligence et logique, il se détache de l’imagerie de son mentor blond bananos d’Amérique. Il développe ainsi désormais encore plus sa personnalité et son propre style. C’est ce que l’on constate ce soir à La Boule Noire, 
au niveau visuel et musical.





Il fait son chemin tout seul. Par la force des choses, résidant dans la Ville Rose, il ne bénéficie pas a priori de la connexion rock’n’roll parisienne (médias, musiciens, associations, spectateurs habitués à ce style musical). 
Ce qui est à la fois un avantage et un inconvénient. 
Et/mais qui peut être payant sur le long terme.





Au-delà de ses photos de rocker aussi flashantes que celles du Jean-Philippe Smet 1960 (période Vogue) ou 1964 (“Les rocks les plus terribles”), il y a sa musique, son jeu de guitare, sa voix, son charisme scénique. Cela fait 
déjà plusieurs années qu’il se produit en concert. 
Pour l’instant, faute d’album correctement distribué, 
sa notoriété n’a pas dépassé la sphère des dingofans 
de la musique des années 1950.





Il y a bien le CD “Comeback Train” (2007, ressorti en digital en 2013), en écoute sur l’internet (Spotify, Deezer) mais introuvable dans les magasins non virtuels. Sur ce disque, il chante uniquement en anglais, avec toutefois 
un accent impeccable.





Pour toutes ces raisons, on attend avec impatience le futur album, à paraître en 2014 sur son label Viktory Musik. On sait déjà qu’il y aura ses propres compositions en français qu’il chante ce soir à La Boule Noire, ainsi qu’une reprise de “Laisse les filles” de Johnny Hallyday.





Des connaisseurs de la flamme électrique éternelle sont dans la salle pour le soutenir. Il y a Jean-William Thoury, Frank Margerin, le photographe Jean-Louis Rancurel (venu en voisin de la rue des Martyrs et qui d’ailleurs prendra des photos avec soin et intérêt durant tout le concert), Andras Mitchell (contrebassiste qui a joué avec Tony Marlow, entre autres) ou Jean-Jacques Bonnet (ancien batteur des Rockin’ Rebels).





Le set démarre à 21h. “Vivre sans elle”, son nouveau single numérique, doté d’un magnifique vidéoclip nickel (visible sur YouTube), est diffusé dans la sonorisation. Viktor ne jouera d’ailleurs pas au cours de son set en live ce formidable titre, et c’est dommage. 



Ce morceau est un exemple de plus que le français est, beaucoup plus que l’anglais, la langue parfaite pour chanter du rock’n’roll lorsqu’on est Français (2). 
Que l’on soit artiste soi-même, ou que l’on soit 
un auditeur/spectateur de disques et de concerts 
d’artistes ou groupes d’ici.





Deux compositions très rentre-dedans et dynamiques 
du Viktor, aux paroles en français (première chanson) 
et en anglais, ouvrent le set. Le son est actuel, le tempo enthousiaste et carré, avec une guitare rythmique ska 
sur le deuxième titre. Le tout étant sous forte influence 
des années 1950, avec la vision d’un jeune Français 
du vingt-et-unième siècle.





Parmi ses autres nouveaux morceaux emballants, joués ce soir à La Boule Noire et qui seront sur son album “Busca Boogie”, il y a plusieurs autres créations réussies, et cette fois en français. D’abord “Dans la peau”, rock nerveux 
et tendu. 



Puis “Quand tu poses ta main sur son épaule”, un swing bop’n’roll effréné. Le saxophoniste Didier Marty intervient en guest sur ce morceau, apportant une jive’n’jump touch, ainsi que sur un morceau tribal, parlant de jungle et d’animaux sauvages. L’ambiance vaudou rock de ce titre fait penser à “Stranded In The Jungle” (New York Dolls), “King Of Bongo” (Mano Negra) ou “Crawfish”.





Viktor Huganet est un très bon chanteur de rock. Et il sait mettre en valeur son jeu de guitares, brillant, rageur, ultra électrique. Sans non plus que ses sons de six-cordes prennent toute la place dans ses morceaux et empiètent sur sa voix.





Au cours de ce set d’une heure vingt-cinq, Viktor 
fait honneur aux rockers originels francophones. 
À sa manière, c’est-à-dire, avec respect tout en y mettant 
sa propre griffe vocale et guitaristique. Il interprète ainsi “Comme un fou” de Johnny Hallyday 1975 (paroles de Michel Mallory à partir de “Stuck On You” d’Elvis).





Gros morceau, il reprend “Je suis comme ça” de Moustique, avec d’ailleurs Didier Marty qui envoie de supers sons et un solo de saxophone. Reprendre cette adaptation de “My Way” (Eddie Cochran) créée par l’idole des blousons noirs des années 1960 est une super idée. Car le rocker titi puriste de la Bastoche des années 1960 est, de nos jours, quasi-ignoré par les groupes actuels. Il n’est jamais cité parmi les références 
des jeunes qui font de la musique aujourd’hui (3).





Emmanuel Panier (contrebasse) et Alain Neau (piano, 
et sur quelques morceaux à la seconde guitare électrique) accompagnent Viktor. Prévenu une semaine avant le concert, Jean “Jeango” Alfred (lui aussi de Toulouse) remplace au quasi-pied levé Xavier Dutrouilh à la batterie, en raison d’un problème de santé de ce dernier. 



Elsa Pérusin, choriste, assure toutes ses parties vocales (sur tel refrain, etc.). Elle n’intervient pas sur tous 
les morceaux mais n’ose pas se lâcher complètement 
ou s’imposer pleinement. De façon indéniable, elle amène une intéressante touche vocale féminine. Ainsi que sur le plan scénique, dans la façon dont est constitué le groupe.





Tels des Johnny Thunders & Patti Palladin jouvenceaux, Viktor et Elsa chantent “Crawfish” d’Elvis Presley (en anglais). Hug’ chante “Money Honey”, très proche de la version 1956 du King (avec le son du piano d’Alain Neau), ainsi que “My Baby Left Me”. Il rock’n’rollise un morceau des Beatles « première période » (dixit VH) : 
“I’ll Cry Instead”.





Trois moments sont “en trop” lors de ce concert. Il y a deux rocks actuels hyper speed et irritants, placés en avant-derniers morceaux du set. Et surtout “Sleepwalk”, au milieu du set. Ah, “Sleepwalk” ! Même Brian Setzer, lors de ses concerts à Paris (et sans doute ailleurs), persiste à jouer ce machin sans colonne vertébrale musicale.



Cet instrumental-calvaire est atroce, lent, interminable, pénible, axé 100 % technique et 0 % émotion, quel que soit le musicien leader qui l’interprète. On s’ennuie 
en subissant cet alter ego de “Europa” (Santana) — 
dans le sens où il procure autant de souffrances auditives. 
Il faudrait pouvoir l’ôter à tout jamais de l’inconscient collectif des rockabilly men.





En solo, guitare à la main, assis sur un tabouret, 
il reprend de façon simple, belle et sans prétention “Lonesome Town” de Ricky Nelson 
en français. « C’est pour ceux qui ont eu le cœur brisé », précise-t-il en intro et en souriant. Les paroles 
sont celles de Pierre Delanoë, créées par Françoise Hardy 
(“La rue des cœurs perdus”) en 1968 (et par Richard Anthony en 1959, précision de Jean-William Thoury).





Dans la foulée, avec de nouveau son groupe, mais toujours dans la même ambiance délicatement feutrée et intimiste, il chante “Like Strangers” (Everly Brothers) et “Young Dreams” (Elvis Presley).





« À présent, on va vous présenter quelqu’un d’autre qui 
est très important pour moi. Vous l’avez peut-être vu dans 
le film “La Bamba” dans les années 80. C’est une grande star aux Etats-Unis. Je vous demande de faire un triomphe, s’il vous plaît, à mister Marshall Crenshaw ! »





« Thank you very much! It’s so good to be here », répond 
le monsieur Marshall d’Amérique. Il chante et joue avec Viktor et son groupe un “Got A Lot’O Livin To Do”(Elvis Presley) enjoué et euphorique. « It’s lovely lovely lovely to be here! It’s“fantastique”. » Il chante un de ses succès pop des années 1980, “Someday, Someway”, là aussi avec Viktor (ce dernier interprète en français le deuxième couplet). En clin d’œil à son rôle de Buddy Holly dans 
le film “La Bamba”, il joue d’une jolie façon “Crying, Waiting, Hoping” aussi bien vocalement que sur la bande originale de ce film.





« On va faire maintenant un petit medley de chansons 
de quelqu’un qui a changé ma vie : Eddie Cochran ! »

Avec ses acolytes et de nouveau Didier Marty au sax, Viktor chante “Teenage Heaven”, “My Way” 
dans sa version poulbot française (“Je suis comme ça”, Moustique, lire ci-dessus) et un dévastateur “Jeannie, Jeannie, Jeannie”. Avec un son entre Stray Cats 
et Eddie Cochran.





22h20, un bon vieux classique des familles pour saluer l’assistance : “Johnny B. Goode” de Chuck Berry en version originale, façon bonne franquette, avec son groupe, Didier Marty et Marshall Crenshaw. La prochaine fois qu’il passera en concert à Paris, il faudra qu’il chante le texte français écrit en 1964 par Manou Roblin pour Hallyday, ça serait génial.





Viktor Huganet est un très sérieux espoir du rock’n’roll d’ici, nouvelle génération. Forcément, à un moment, entre lui et le public français, il va y avoir un déclic. Quelque chose d’important et de fédérateur concernant ses chansons, ses concerts et sa musique. Ce futur album “Busca Boogie” pourrait en être le déclencheur.



François Guibert


(12 janvier 2014)






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(1) : dans le journal Juke-Box Magazine, 
ou les vidéos live non officielles sur internet.





(2) : autre exemple discographique récent, l’album “Rockabilly Troubadour” de Tony Marlow,
paru chez Rock Paradise. Une page spéciale consacrée 
à ce CD sera en ligne ce mois-ci.





(3) : Moustique mériterait de laisser tomber la vente 
de ses statuettes africaines place d’Aligre (Paris 12e) 
pour enfin enflammer les scènes de France et de Navarre. 
En étant accompagné par de supers musiciens rock’n’roll. Surtout pas un orchestre balochard variété, non, 
un vrai groupe.



C’est quand même dingue, la façon dont les personnes comme Moustique, Vic Laurens, Long Chris, Joey 
& The Showmen et bien d’autres de cette époque-là vivotent dans le circuit fermé des organisateurs du sérail “public 3e âge”. Pourquoi tous ces real rockers des sixties, pionniers, n’ont-ils pas l’occasion de donner des concerts dans de vraies salles de concert de rock “actuel”, comme n’importe quel jeune groupe ?



En plus, en les faisant jouer au Petit Journal Montparnasse (exemple au hasard), aucun jeune n’a, 
de façon bien légitime, envie d’aller dans cette salle 
(qu’ils ne connaissent et ne fréquentent guère, à juste titre) à l’atmosphère jazzy et ronronnante. “Les jeunes” ont une vision un peu ringarde de ces vrais rockers.



Déjà que Dick Rivers 2011/2014, alors qu’il joue dans des salles hypers pros avec un show (“Mister D Tour”) et un groupe (mené par Oli Le Baron) du tonnerre, qui sonne hyper sauvage, il y a très peu de jeunes dans le public.



Pourtant, il suffirait de pas grand-chose pour que les jeunes et, disons, les personnes de moins de 60 ans, 
qui ne connaîtraient pas en détail les noms, la carrière, 
les chansons de ces rockers franco-français early 60s 
s’y intéressent. Et que ceux-ci ramènent des centaines voire milliers de personnes à leurs spectacles (cf. les chanteurs de“Stars 80”, dans un autre style de chanson, qui remplissent les Zénith de France, Bercy, etc.).



À sa façon, dès qu’il est sur scène, Moustique peut rivaliser avec Johnny Hallyday 2013/2014. Ils n’ont pas la même façon de chanter mais c’est la même énergie, ainsi qu’un talent identique pour le rock’n’roll dès qu’ils sont sur les planches.



Il faut juste fournir à Moustique un groupe implacable et solide musicalement. Et qu’un vrai manager professionnel gère sa carrière. Un peu plus de rigueur aussi dans son organisation à lui en dehors de la scène.



Et voilà, après, si on lui donne tout ça, il peut faire réagir par exemple dix-sept mille spectateurs qui se trouveraient dans Bercy. À l’instar de Vigon qui, depuis son retour médiatique via “The Voice”, connaît désormais un vrai succès populaire.

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