|
| JOHNNY HALLYDAY ("Rester vivant" & "De l'amour") 27 & 29/11/2015 Bercy/AccorHotels Arena (Paris) : compte rendu | |
| | Auteur | Message |
---|
GUIBERT FRANCOIS Admin
Messages : 1032 Date d'inscription : 12/07/2008 Age : 51 Localisation : “Chez Moi À Paris”
| Sujet: JOHNNY HALLYDAY ("Rester vivant" & "De l'amour") 27 & 29/11/2015 Bercy/AccorHotels Arena (Paris) : compte rendu Lun 18 Jan - 14:46 | |
|
Nouvelle page inédite
« Compte rendu détaillé des concerts
“RESTER VIVANT” & “DE L'AMOUR”
de JOHNNY HALLYDAY les 27 & 29 novembre 2015
à BERCY ACCORHOTELS ARENA (Paris) »
en ligne sur ce lien (à copier-coller) : http://heartbreakhotelthehellboysnikolaacin.fr.gd/JOHNNY-HALLYDAY--k1-concerts--g-Rester-vivant-g--et--g-De-l-amour-g--k2--les-27-et-29-novembre-2015-%2B-2-et-3-fevrier-2016-a-Bercy-AccorHotels-Arena--k1-Paris-k2---d--compte-rendu-.-.htm
••••
JOHNNY HALLYDAY Concerts “Rester Vivant” & “De l’amour”
Vendredi 27 novembre & dimanche 29 novembre 2015 à l’AccorHotels Arena/Bercy (Paris) :
“Rester vivant” : spectacle dynamite et époustouflant, à la fois géant et intimiste. Deux heures trente d’un concert de pur rock’n’roll et de rhyth’m’nblues authentique. Johnny Hallyday retrouve la fougue, l’intensité, la dinguerie et l’énergie rock’n’roll de son album studio “Johnny, reviens ! — Les rocks les plus terribles” (1964). Et de son groupe d’alors, Joey & The Showmen (avec Joey Greco et Bobbie Clarke).
C’était le cas sur la précédente tournée : au Stade de France (15, 16 & 17 juin 2012), dans ce même Bercy (uniquement le soir magique du 16 juin 2013), au Trianon (15 décembre 2013). Avec déjà Yarol Poupaud en tant que directeur musical.
Sauf que là, le nouveau groupe (remanié) est encore plus puissant. Et grande joie, il y a désormais beaucoup moins de chansons lentes qu’à Bercy 2013.
En prime, quand il y a des ballades, ce sont des choix judicieux. Comme “J’ai pleuré sur ma guitare” (1974), cainetwouy music à la française. Avec un texte de Michel Mallory qui, pour une fois, évite la balourdise.
“L’idole des jeunes”, sublime relecture sobre et, ce n’est pas contradictoire, adulte. “Seul”, vibrante et déchirante interprétation.
À part une version toute molle de “Quelque chose de Tennessee” (en même temps, difficile d’en faire un dingoboogie), tout est réussi dans ce spectacle. Mise en scène, lumières, enchaînements entre les morceaux.
Et surtout, au-delà de l’impressionnante technique visuelle, l’interprétation (par le groupe et par Le Chanteur) des vingt-huit morceaux joués captive : hyper rock roll. Et raffinée. Y compris quand l’électricité sur scène est à fond les ballons.
Pour ce spectacle, à moins d’être blasé ou de mauvaise foi, on ne peut quasiment rien reprocher à Johnny Hallyday et son gang soudé. Un vrai groupe de rock, aussi phénoménal qu’inspiré et concentré.
Tous les musiciens et choristes vivent à fond l’instant présent, donnant tout ce qu’ils ont. Ils ont la même énergie au rythme et au blues, entre Mano Negra et Wilson Pickett, de la formation 2013/2014 “Je veux du bonheur” de Christophe Maé.
Stefan & Rycko Filey (choristes), Allen Hoist (saxophone), Thomas Henning (trombone), Renaud Gensane (trompette), ici présents aux côtés de Johnny, en faisaient d’ailleurs partie.
À chaque instant, sans aucun moment d’ennui, on prend un pied immense à assister à cet Hallyday show plein de surprises et renouvelé pour de vrai. En écoutant (et regardant) les musiciens, ainsi que le chanteur tout ragaillardi et plein de pep’s.
Sa voix est aussi maîtrisée, féline et fougueuse que sur “Les rocks les plus terribles”. Cinquante années d’expérience scénique en prime, et la gnak viscérale identique. Le même amour pour la musique électrique rebelle, chevillé au corps et à son âme.
En totale connivence avec le roi du rock et du roll, Yarol Poupaud a su proposer à ce dernier une set list d’enfer. Celle-ci est constituée aux trois quarts de titres rapides.
Parmi les mégatubes interprétés, on trouve de vrais blues ou rocks : “Noir c’est noir”, “Le pénitencier”, “Fils de personne”, “Oh ! Ma jolie Sarah”, “La musique que j’aime”. Pas mal de raretés réellement « pas chantées depuis longtemps », telle une “Nadine” experte, aux cuivres démultipliés et fonçant à toute berzingue.
Des hits de nos Éternels Copains Américains d’Amérique : “Mystery Train” (« celle-là, je suis sûr qu’il y en a beaucoup d’entre vous qui ne la connaissent pas », © JH le 29 novembre dans le micro, après l’avoir interprétée), “Blue Suede Shoes”. Ainsi que “La fille de l’été dernier” (“Summertime Blues” en version française) d’Eddie Cochran, le Viktor Huganet de là-bas.
En intermède (par le groupe et les choristes uniquement) : “I Want To Take You Higher” et “Dance To The Music” (Sly & The Family Stone) mêlés. Soit un palpitant funk rock fantabuleux de dix minutes avec cuivres, harmonica (fidèle Greg Zlap) et chœurs devenus lead à gogo. Avec visuels psychédéliques (réussis) très JH 1966/1967.
Beaucoup de nouveautés : “Au café de l’avenir” à la Dick Rivers des années 2011/2016. Le zboingbonguesque “De l’amour”, avec son créateur Yodelice en invité, quatrième guitare. Chouettos “Mon cœur qui bat”, spécial feu de camp plein de bonnes vibrations. “Un dimanche de janvier”, qui n’est pas l’unique chanson du show, les médias généralistes faisant une fixette sur ce titre. Pour le final, “Te manquer”, habité et mélodramatique comme il faut.
Même “Allumer le feu”, monstruosité conçue par Zazie et Pascal Obispo en 1998, et “Je suis victime de l’amour” (qui aurait parié qu’un titre de l’album catastrophe “La peur” serait rejoué sur scène ?) deviennent de supers rocks endiablés.
Guitariste principal (et pro) des Wampas de 1992 à avril 2015, Philippe Almosnino apporte énormément. Dans la lignée de Vincent Palmer du groupe Bijou.
En apparence, de loin, on peut croire qu’un troisième guitariste n’est pas nécessaire. Eh bien, si : Philippe durcit (positivement) le ton musical du côté rocky. Tout en amenant de nombreuses subtilités à la guitare rythmique, à la steel guitar et au dobro.
Des ornements non superflus, où l’on sent toute la culture des années 1950 et 1960 du bonhomme : surf music, rockab’, cainetwouy là encore, hillbilly, blues, etc.
Le fait que Johnny interprète de nouveau “Ô Carole” vient sans aucun doute de l’impulsion nouvelle qu’amènent Yarol et Philippe. Depuis leur adolescence, ces deux musiciens sont des SuperFavinets de l’album “Les rocks les plus terribles”.
Ce titre de Chuck Berry parolée avec génie par Manou Roblin (très grand auteur féminin de rock) est volontairement placé en deuze dans la set list. Il met directement dans l’ambiance. Juste après “Rester vivant”, dantesque rock rhythm’n’blues carré à la Nino Ferrer (“Blues en fin du monde”, 1993), qui ouvre le show.
Concernant la tête de mort géante qui surplombe la scène : avant que le spectacle ne démarre, on dirait un accessoire en caoutchouc mastoc’ volé aux décorateurs du film “Spinal Tap” (« Hello Cleveland! »).
Eh bien, dès que le show démarre, ce machin imposant et incongru apporte un réel bonus visuel au spectacle. Il a même ses cinq minutes de gloire durant “Fils de personne” (descendant deux mètres au-dessus de JH).
C’est aussi, on parie, un pied de nez moqueur aux personnes de générations successives qui, depuis 1960, donnent JH pour dépassé ou moribond.
Clin d’œil involontaire à la scène “Rock&Roll Friday”, cette tête de Skeletor fait aussi penser au logo “Mutant Love” des Hellboys (le groupe de Nikola Acin & Yarol).
Rendez-vous de nouveau en fosse debout (celle à 38 et 45 €) les 2 et 3 février 2016 à Bercy.
François Guibert (17 janvier 2016)
N.B. : à moins que l’équipe Warner soit d’une inconscience absurde, il est très probable (si on est logique) qu’il y aura un album (et DVD) live de cette tournée. L’idéal serait de l’enregistrer les 2 & 3 février à Bercy.
Ne surtout pas commettre l’erreur faite pour “On Stage” (2013) : assembler de façon foutraque, en prenant en plus des captations de “mauvais soirs”, les morceaux issus de différentes dates (et sur plusieurs mois).
Il n’y a aucune âme, pas d’unité ni de cohérence dans ce double CD oubliable “On Stage”. Alors que la tournée 2012/2013 était sensationnelle.
Pour le live “Born Rocker Tour” (CD/DVD) à Bercy, c’était le concert du dimanche 16 juin 2013 qu’il fallait graver pour l’éternité. Ce soir-là, tout s’enchaînait parfaitement, avec une magie totale, à partir de “Nashville Blues” (qui a tout décoincé) jusqu’à “Quand on a que l’amour”. Surtout pas celui du samedi 15 juin avec sa cohorte d’invités plus qu’encombrants, qui ralentissent le show. Et qui de plus n’apportent rien, à part de l’ennui.
••••••••
Voix, showman : Jean-Philippe. Guitares : Yarol Poupaud, Philippe Almosnino Robin Le Mesurier. Basse : Laurent Vernerey. Piano : Alain Lanty. Claviers, orgue : Jean-Max Méry. Harmonica : Greg Zlap. Batterie : Geoff Dougmore. Saxophones : David McMurray, Allen Hoist. Trompette : Renaud Gensane. Trombone : Thomas Henning. Choristes : Stefan Filey, Rycko Filey, Amy Keys, Carmel Helene. | |
| | | GUIBERT FRANCOIS Admin
Messages : 1032 Date d'inscription : 12/07/2008 Age : 51 Localisation : “Chez Moi À Paris”
| Sujet: Re: JOHNNY HALLYDAY ("Rester vivant" & "De l'amour") 27 & 29/11/2015 Bercy/AccorHotels Arena (Paris) : compte rendu Sam 6 Fév - 14:15 | |
| | |
| | | GUIBERT FRANCOIS Admin
Messages : 1032 Date d'inscription : 12/07/2008 Age : 51 Localisation : “Chez Moi À Paris”
| Sujet: Re: JOHNNY HALLYDAY ("Rester vivant" & "De l'amour") 27 & 29/11/2015 Bercy/AccorHotels Arena (Paris) : compte rendu Mer 13 Juil - 18:54 | |
| | |
| | | GUIBERT FRANCOIS Admin
Messages : 1032 Date d'inscription : 12/07/2008 Age : 51 Localisation : “Chez Moi À Paris”
| Sujet: Re: JOHNNY HALLYDAY ("Rester vivant" & "De l'amour") 27 & 29/11/2015 Bercy/AccorHotels Arena (Paris) : compte rendu Lun 18 Déc - 3:40 | |
|
Ci-dessus : Johnny Hallyday le 10 juillet 2016 à l'Opéra Garnier (Paris).
Nouvelle page spéciale inédite
« Compte rendu détaillé du concert du groupe du “RESTER VIVANT TOUR” de JOHNNY HALLYDAY le 9 décembre 2017 à La Madeleine (Paris) »
sur ce lien : http://heartbreakhotelthehellboysnikolaacin.fr.gd/Concert-du-groupe-du--g-RESTER-VIVANT-TOUR-g--de-JOHNNY-HALLYDAY-le-9-decembre-2017-a-La-Madeleine--k1-Paris-k2---d--compte-rendu-.-.htm
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
Concert (52 mn) du groupe du « RESTER VIVANT TOUR »
de JOHNNY HALLYDAY
le samedi 9 décembre 2017
de 11h45 à 12h35 devant l’église de la Madeleine (Paris) :
Entre République française, (« vous aimez bien, je sais, le ») rock’n’roll musique, et présence du peuple de France. Cette journée de salutation et d’au revoir terrestre du public à Johnny Hallyday s’est déroulée de la meilleure manière possible. Il aurait été impossible de faire mieux que cela.
De 11h45 à 12h35, les trois quarts des membres du groupe du “Rester Vivant Tour” donnent un concert quasi surprise. En plein air, sous un soleil d’automne et un ciel bleu idéal. Un fantastique cadeau offert par la Bande à Yarol Poupaud aux milliers de fans présents rue Royale, devant l’église de la place de la Madeleine.
Sont présents sur la mini scène : Yarol, Philippe Almosnino, Robin Lemesurier (guitares), Greg Zlap (harmonica), Allen Hoist (saxophone), Alain Lanty (piano), Jean-Max Méry (orgue), Laurent Vernerey (basse).
Aux chœurs : Stefan Filey, l’Américaine Amy Keys. Ainsi que, du Stade de France 1998 et du Tour 2000 (Tour Eiffel, Olympia), Angéline Annonier et Jerryka Jacques-Gustave. Ils interviennent régulièrement, pas tout le temps, plutôt sur les refrains, comme une sorte de “voix guide”.
À la batterie, à la place de Geoff Dugmore : Christophe Deschamps (qui a joué sur l’album “Gang”, ainsi qu’avec “Les vieilles canailles” en tournée).
Norbert “Nono” Krief joue de la guitare sur “La musique que j’aime” et “L’envie”, les deux premiers titres. Il a accompagné JH de 1987 (le mythique “Johnny se donne à Bercy”, premier très bon disque live en béton armé de la carrière de JH) à l’été 1993.
C’est comme si Johnny donnait un inespéré Ultime Concert à Paris. Comme si on se retrouvait à Bercy AccorHotels Arena (27 au 29 novembre 2015, 2 et 3 février 2016) ou à l’Opéra Garnier (10 juillet 2016) pour cette nouvelle étape du “Rester Vivant Tour”.
L’esprit de Hallyday est présent partout : sur scène, et aux côtés de chacun d’entre nous dans la foule. Une impression renforcée par la toile géante de la superbe photo noir & blanc de Johnny. Apposée sur la devanture de l’église, surplombant la scène, elle fait face à tous les spectateurs.
Au centre de la mini scène, est posée sur un trépied l’une des guitares du Rocker le Plus Terrible. Il n’y a aucun chanteur. C’est très bien comme cela. Dans ces instants, on n’a pas envie qu’un chanteur, aussi connu soit-il, prenne possession du micro de Johnny Hallyday.
D’ailleurs, le public chante les paroles à sa place. Parfois en se trompant dans les couplets et les vers. Chacun dans l’assistance entonne les paroles avec ferveur et tout son cœur. Doucement lorsqu’il s’agit des ballades mélancoliques : “Je te promets”, “Quelque chose de Tennessee”, “L’idole des jeunes”. Ou en y allant franco, joyeusement, quand ce sont du rythme et du blues (“Noir c’est noir”), ainsi que les refrains et bouts de couplets de “Ma gueule”, “Allumer le feu”, “L’envie”, “Requiem pour un fou”, etc.
Pour “Gabrielle”, cainetwuy swamp du Bayou made in Paname, on lève comme d’hab’ tous les bras en croix sur les « Mourir d’amour enchaîné ». Sur ce titre, le solo diablesque de Greg Zlap à l’harmonica déchaîne la foule. Tout le monde tape dans les mains. C’est la fête du rock et du roll. Et cela met du baume au cœur à toutes et à tous.
Le blues’n’roll “Le pénitencier” chamboule drôlement. Notamment quand sont interprétées les paroles : « Les portes du pénitencier / Bientôt vont se refermer / Et c’est là que je finirai ma vie / Comme d’autres gars l’ont fini. »
Dans cette set list populaire et impeccable, c’est génial que Yarol, Philippe et les autres y casent l’un des “Rocks les plus terribles” : “Ô Carole”. Idem pour “Elle est terrible”, un rock et roll eddiecochranien transfiguré comme seuls les rockers français savent excellemment le faire depuis 1960.
Le groupe fait une dédicace à la période Vogue en jouant un titre que Johnny n’a pas chanté (et encore, expédié dans un medley) depuis le Parc des Princes 1993 : “Souvenirs souvenirs”. Dans une version très belouze, grâce à l’harmonica de Greg, et Salut Les (Vrais) Copains, avec les guitares yé-yé twuyst.
Depuis 2003, hormis durant le “Rester Vivant Tour” où ce morceau n’était pas interprété, “Marie” est l’instant variété du spectacle. Là, vu le contexte solennel, on apprécie beaucoup sa version instrumentale. L’harmonica de Greg Zlap reprend la trame mélodique vocale du chant de Johnny, vers par vers, accompagné par le public. “Marie” sonne ici comme un blues authentique, épuré. Magique.
Au total, cinquante minutes musicales d’émotions incroyables. Dans une ambiance très chaleureuse, joyeuse, pleine d’émotions.
Le président de la République française prononce un discours irréprochable. À la hauteur de cet événement historique.
La messe est retransmise sur un écran très peu géant à droite de l’église, à moitié caché par un arbre. Au moins est-elle parfaitement audible, bien sonorisée. Chacun participe à cette cérémonie religieuse comme si on était à l’intérieur du monument. Durant ces cent-vingt minutes, c’est le silence-respect total et absolu, rue Royale comme aux alentours.
Lorsque Yarol, Maxim Nucci, Robin Lemesurier, Matthieu Chédid jouent de la guitare devant le cercueil entre les interventions de Carole Bouquet, à l’extérieur, nous les écoutons religieusement (“Je te promets”). Et quand cela s’y prête, en chantant en chœur par milliers doucement (“Quelque chose de Tennessee”, “Que je t’aime”). Ou en tapant dans les mains (“La musique que j’aime”, “Mystery Train”, “De l’amour”).
Durant les trente ou quarante-cinq dernières minutes de la messe, le ciel devient gris, presque pluvieux, et la température glacée.
À la fin de la cérémonie, le cercueil blanc est porté à l’extérieur, sur la place. Au son des instrumentaux acoustiques de “Gabrielle” et “La musique que j’aime”, joués discrètement par Yarol, Philippe et Greg. Les Très Importantes Personnes, elles, se retrouvent sur le parvis et devant les portes de l’église.
À ce moment-là, Johnny Hallyday adresse un clin d’œil-salutation à tout le monde. Ainsi, soudain, des rayons de soleil provenant du Sud (des Champs-Élysées, de la Concorde) répandent partout une mystique dose de chaleur.
Dans le même temps, Yarol, Philippe, Greg continuent d’improviser sur le thème de “La musique que j’aime”. Y compris pendant dix bonnes minutes une fois que La Voiture est repartie. Et cette fois, de nouveau sur la mini scène. Dans un très bon état esprit positif. Comme cela a été le cas tout au long de ces quatre heures de recueillement.
François Guibert
(16 décembre 2017)
(situé sur la rue Royale elle-même, à côté du 30 rue Royale, à cinquante ou cent mètres de la scène, face à celle-ci)
| |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: JOHNNY HALLYDAY ("Rester vivant" & "De l'amour") 27 & 29/11/2015 Bercy/AccorHotels Arena (Paris) : compte rendu | |
| |
| | | | JOHNNY HALLYDAY ("Rester vivant" & "De l'amour") 27 & 29/11/2015 Bercy/AccorHotels Arena (Paris) : compte rendu | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |